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SELECTION: TOP OF THE LEFT PAGE
Le combat féministe des années 1970*, est différent de celui que nous
vivons aujourd’hui. Hier, la femme revendiquait son indépendance par rapport à l’homme
(matriarcat et patriarcat) et exigeait des droits équivalents : combat
légitime.
Elle souhaitait pouvoir choisir de: vivre
seule, parcourir un bout de chemin avec
lui, ou se lier définitivement.
Mais aujourd’hui nous sommes dans une
situation différente, les ultra-féministes semblent être dans une logique de vouloir
surpasser l’homme ou de le détruire.
Les féministes des années 1970 comme les
hommes, avaient une soif de liberté, mais les ultras d’aujourd’hui semblent
redouter cette liberté, car il ne suffit pas pour les femmes comme pour les
hommes de se vouloir libre, il faut aussi
être capable d’assumer cette liberté et c’est là que les difficultés
commencent, car se prendre en charge est
une étape douloureuse à franchir psychologiquement. C’est toujours
difficile d’être seul avec soi-même, conséquence de la liberté.
La transformation de l’homme, se muant en
transgenre semble aussi déstabiliser celles-ci se voyant dépossédées d’un de
leurs atouts, la séduction. Car l’homme devient maintenant un séducteur féminin.
Une des premières conséquences de cette
attitude, est de renforcer la thèse religieuse monothéiste des
fondamentalistes, considérant qu’elle est la pécheresse (Eve), responsable de
tous nos maux.
Mais il y a plus tragique pour elles,
c’est de perdre leur identité de femme, ce que les féministes des années 70 ne
redoutaient pas. Car perdre son identité, est un facteur créant des angoisses
douloureuses vous conduisant à l’auto-destruction. Pire encore, c’est prendre
de risque d’être écartées de l’amour.
* lire le livre autobiographique de la
romancière Catherine Choupin (le silence de la madone) racontant les
difficultés d’être une femme libre dans les années 1970. Vous pouvez la contacter sur son site
Facebook.
Cordialement