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Macron,
Bayou et Philippe ont laissé voter une loi, alors qu’ils savaient qu’elle
allait être en partie retoquée. Il aurait été courageux de présenter
seulement le texte de Darmanin, en refusant les apports du Sénat, ce qui aurait
justifié l’utilisation du 49.3 par Macron : on reconnaît la duplicité
de cette affaire. La suppression de 32 articles de cette loi est contestable, (1)
car elle empêchera le pays de contrôler et gérer ses flux migratoires.
L’efficacité de cette loi sera fortement affaiblie en raison d’une
arrivée exponentielle de migrants en situation irrégulière difficilement
gérables.
Quant
au conseil constitutionnel, il s’est arrogé le droit par la censure, de nier l’existence
du Parlement et du Sénat.
Les
conséquences en seront dangereuses, car avec le blocage de l’action politique, le
Conseil constitutionnel suggère au peuple que seule la violence est efficace en
dernier recours, comme le font les agriculteurs.
On
verra aussi comment le peuple réagira lors des prochaines législatives de l’UE.