Qu’Éric Woerth ne soutienne pas Valérie
Pécresse, après l’investiture par LR le 4 décembre 2021, c’était son droit,
mais à condition qu’il en tire les conclusions à savoir sa démission de LR et
de son poste de président de la commission des finances à l’assemblée nationale,
dans la semaine qui suivait.
Mais attendre 2 mois ½ et intervenir 3 jours avant son meeting et à 2
mois du 1er tour, indique un calcul bassement politicien, diriger en
coulisses par Macron ; Woerth n’étant qu’un simple fantassin entre les
mains de celui-ci.
À nouveau Macron démontre son esprit sordide de vil calculateur, et c’est
dans ces situations qu’il est le plus à l’aise, en naviguant dans les marais
malsains de la politique, ce qu’il a fait tout au long de son quinquennat.
Rappelons-nous les mensonges éhontés lors du démarrage de la pandémie,
rappelons-nous l’envoi de 5 ministres lors des élections régionales dans
les Hauts-de-France, sous prétexte de
battre le RN, mais en prenant le risque inverse d’une victoire de celui-ci,
etc. Où sont les belles promesses de vouloir moraliser la vie publique (cliquer sur la photo ci-dessus, programme Macron de 2017).
Ce sont des écuries pleines du fumier des basses œuvres du nouvel Augias ( Macron), qu’il nous laisse. (1). Il cherche à écœurer la société, en espérant décourager les électeurs par l’abstention, situation qui lui a été favorable en 2017.
Cordialement.
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